- Auteur : Amy Ewing
- Edition : Collection R, Robert Laffont
- Collection: Le Joyau, Tome 1
- Nombre de pages : 452
- Année de publication : 2014
- Quatrième page de couverture :
Vous êtes plus précieuse que vous ne le pensez.
Le Joyau, haut lieu et cœur de la cité solitaire, représente la richesse, la beauté, la royauté.
Mais pour une jeune fille pauvre comme Violet Lasting, le Joyau est avant tout synonyme de servitude. Et pas n'importe laquelle : Violet a été formée pour devenir Mère-Porteuse. Car dans le Joyau, le vrai luxe est la descendance...
Achetée lors de la Vente aux Enchères par la Duchesse du Lac, Violet -le lot 197, son nom officiel - va rapidement découvrir la réalité brutale qui se cache derrière l'étincelante façade du Joyau. S'exercer à la cruauté, à la trahison et aux coups bas est la distraction favorite de la noblesse. Violet doit accepter son sort et tâcher de rester en vie.
C'est pourtant dans ce sinistre quotidien qu'elle tombe amoureuse d'un séduisant garçon, loué pour servir de compagnon à la Duchesse. Cette relation interdite vaudra aux jeunes amants d'affronter les plus grands des dangers...
- Ma note : 16/20
- Mon opinion : J'ai relu ce livre à l'occasion de la sortie du nouveau livre d'Amy Ewing, La Cité Du Ciel. Le Joyau est le premier tome d'une trilogie dystopique. Ce tome 1 énonce un sujet peu abordé dans la littérature : la question et le rôle des mères porteuses. Ce thème est abordé grâce à une fiction, l'intrigue est bien ficelé même si pour les dernières pages, l'action s'accélère et la compréhension peut paraître un peu plus opaque. J'avoue que je trouve que Violet, le personnage principal, tombe trop vite amoureuse… J'aurais aimé que ça se fasse plus en douceur…
Au niveau des personnages, je suis assez admirative du caractère fort de la meilleure amie de Violet, Raven, et du côté peste de la Duchesse ou de sa nièce. Malgré tout, je trouve que Violet baisse trop vite les bras ce qui en fait, du coup, une héroïne assez atypique.
L'univers créé par l'auteure est parfait : le cadre splendide cache de véritables machinations, on retrouve également la domination d'une minorité qui contrôle les richesses de l'Île.
J'ai vraiment adoré la fin qui nous laisse dans un sacré suspens, j'ai plus qu'une seule hâte : relire la suite !
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